L’œuvre civile intérieure de Benito Mussolini a laissé en Italie des traces profondes, et un courant de nostalgie, certes minoritaire, mais pratiquement sans équivalent dans le monde, en dehors du cas du péronisme argentin. Le fascisme a-t-il cherché, par des mesures concrètes, à bâtir une Troisième Voie, rejetant le libéralisme capitaliste et le socialisme marxiste et s’inspirant des idées corporatistes.